The irregularity and parallel rhythms contrasted, how do you see what others miss? I have missed many views from my stupid car this week as the sky opened up and the ground glistened in the clean sharp air. color changed and magnified somehow.....
Liebe Roxana! Zuerst einmal, etwas spät, vielen Dank für Deine so liebe Antwort auf meinen - ersten - Kommentar! Ich möchte aber dazu unbedingt sagen, dass es nicht so ist, als hätte ich "keine Lust" bei Dir vorbeizuschauen. Es ist nur so, dass Deine Bilder oft mein Herz auf eine traurige Weise sehr berühren und davor drücke ich mich eben.. Das sollte auf keinen Fall eine negative Kritik gegen Dein Blog sein (nein, sonst hätte ich keinen Kommentar hinterlassen!); im Gegenteil, das heisst ja nur, dass Deine Bilder eine grosse Ausdruckskraft besitzen und, wenn sie bedrückend auf mich wirken, ist das ja dann auch mein Problem :-)..! Heute bin ich wieder hier, weil ich Dein Bild sehr mag. Es spricht von der Schönheit des Lebens, von Erinnerungen, die man nie vergisst...! Alles Gute für Dich, Roxana - und versprochen, ich werde wiederkommen! Renée
Bon retour Roxana ! Ce petit arbre fleuri donne l'impression d'être emprisonné derrière de gros barreaux. Le printemps qui tente de faire un pied de nez à l'hiver ? Le dernier arbre en fleurs du monde après un cataclysme météorologique ? Tout est possible au travers de tes photos ;-) Bises
Dianne, i am so glad you like it... and i understand so well the feeling you talk about, the suddenness of a moment when the world around changes as if by magic - and then the terrible feeling of loss, of "missing" the moment - all photographers are haunted by this...
Désolé d'avoir supprimé mon commentaire Roxana... J'y parle trop de moi !...:)))
Improbable...! Comme tu le dis Roxana...! Quand je regarde ta photo avec cette rangée de troncs qui forme comme une barrière à cet arbre en fleur, j'y trouve quelque chose de très vivant et très poétique ! "L'image" de cet arbre face à ces troncs me fait penser à une célèbre photo d'une manifestation contre la guerre au Vietnam !...:) Il s'agit d'une photographie de Marc Riboud où on voit une jeune femme avec des fleurs face à une rangée de militaires ! C'est comme ça que j'interprète cette photographie ! La fragilité de cet arbre en fleur face à tous ces arbres plutôt austères ! Le site du photographe en question... http://www.marcriboud.com/marcriboud/accueil.html Mais aussi le printemps de Pragues... Je ne sais pas pourquoi cette photo me fait penser à ceci et celà !... ? ! ?...(8[
Dans tous les cas, je suis ravi que tu réapparaisses dans cet univers de blogs ! Tu manquais Roxana...!
Oui, Jeff, j’ai admiré hier tes amandiers en fleur, ils sont vraiment superbes... moi, je n’ai pas tant de chance puisqu’il n’y a pas d’amandiers en Roumanie, il ne fait pas assez chaud pour cela, ou peut-être il y a d’autres conditions climatiques dont je ne suis pas au courant. mais vu d’un autre côté, j’ai beaucoup de chance puisque voilà, je peux en admirer sur ton blog :-) et pour cela je te remercie de tout coeur... aussi pour être ici pendant mon absence et pour dire que je/le Pont t’ont manqué...
Je n’avais pas pensé au changement climatique par rapport à cette image, tu ouvres ici une perspective intéressante. surtout comme les prévisions pour cette région où je vis sont très sombres, il paraît que dans 50 ans tout sera transformé en désert et alors les arbres fleuris comme celui-ci ne seront plus qu’un souvenir. et tu as aussi raison, j’ai choisi le blanc-noir pour accentuer le côté dramatique, j’ai aussi une version couleur qui est plus « tendre ».
mais, Jeff, pourqoi supprimer ton commentaire, j’étais juste en train de te répondre quand tu faisais cette bêtise :-P j’aime bien tes deux commentaires, surtout les perspectives qu’ils ouvrent, maintenant la guerre et la paix après le changement climatique.
c’est étrange, mais moi-aussi je vois la similitude dont tu parles, avec la photo de Marc Riboud (extraordinaire, cette image, merci beaucoup !). sur le mode métaphorique elles se rencontrent quelque part...
ach Renée, das ist wirklich sehr lieb von Dir, vielen vielen Dank fuer Deine warmen und aufrichtigen Worten - und auch dafuer, dass Du zurueck gekommen bist...
was Du mir gerade gesagt hast, macht mich sehr gluecklich: das ist ja mein groesster Wunsch, dass meine Bilder tiefe Emotionen hervorrufen. ich moechte natuerlich nicht, dass meine lieben Leser bei jedem Besuch hier auch traurig werden (hoffentlich ist das nicht Dein Fall!) - aber ich kann mir nichts Schoeneres vorstellen als von einem Bild ergriffen, ueberwaeltigt zu werden - auch wenn dieser Zustand manchmal zu intensiv ist... ich habe gerade eine grosse Munch-Ausstellung gesehen und am Ende war ich ganz erschoepft, konnte kaum mehr atmen...
Merci beaucoup pour tes chaleureux mots, petite fée K’line... et toi ? quand est-ce que tu seras de retour, avec le nouveau blog ? Et tes yeux ? j’espère de tout coeur que tu vas mieux...
c’est marrant, tu penses aussi à un cataclisme météorologique, comme Jeff 1er (dans le message qu’il vient de supprimer, je veux dire :-). Le mystère dans cette image, ce n’est pas moi qui l’ai créé, mais la forêt elle-même, je me rappelle être éblouie par l’image d’une forêt de troncs vides, où par ci par là poussaient de petits arbres en fleurs, un tel contrast enivrant...
Is this hope? Or reportage? This reminds me of the forest in Ivan’s Childhood :-)
… and this slender tree that offers its whiteness as a promise of the colors to come, like glimpses of a skittish nymph who steps shyly from the late-winter shadows, her eyes yet unsure, torn between flight and inviting us….
Gérard de Nerval:
Déjà les beaux jours, - la poussière, Un ciel d’azur et de lumière, Les murs enflammés, les longs soirs ; - Et rien de vert : - à peine encore Un reflet rougeâtre décore Les grands arbres aux rameaux noirs !
Ce beau temps me pèse et m’ennuie. - Ce n’est qu’après des jours de pluie Que doit surgir, en un tableau, Le printemps verdissant et rose, Comme une nymphe fraîche éclose Qui, souriante, sort de l’eau.
ah, Gerard, indeed - what a perfect poem, James, thank you so much, yet again (reading what i have just written, i become unsure if i am talking to you about Nerval or to Nerval about you :-)
and i would have never thought of a "skittish nymph" in this context, but now it makes sense, and it's so lovely. when i was little i often wished my name had been Bendis, the Thracian goddess of the moon...
Ah...afinal está bem viva a Roxana!
ReplyDeleteApenas desaparecida por algum tempo...
Benvinda com mais esta imagem de marca "Roxana".
Em português :)
Je ressens un immense plaisir, une grande joie de votre retour.
ReplyDeleteThen there is hope !
ReplyDeletec'est magnifique!!!!!!!!!!!
ReplyDeleteMerci x x x
Wow..I am speechless.
ReplyDeleteThe irregularity and parallel rhythms contrasted, how do you see what others miss? I have missed many views from my stupid car this week as the sky opened up and the ground glistened in the clean sharp air.
color changed and magnified somehow.....
This comment has been removed by the author.
ReplyDeleteLiebe Roxana!
ReplyDeleteZuerst einmal, etwas spät, vielen Dank für Deine so liebe Antwort auf meinen - ersten - Kommentar! Ich möchte aber dazu unbedingt sagen, dass es nicht so ist, als hätte ich "keine Lust" bei Dir vorbeizuschauen. Es ist nur so, dass Deine Bilder oft mein Herz auf eine traurige Weise sehr berühren und davor drücke ich mich eben.. Das sollte auf keinen Fall eine negative Kritik gegen Dein Blog sein (nein, sonst hätte ich keinen Kommentar hinterlassen!); im Gegenteil, das heisst ja nur, dass Deine Bilder eine grosse Ausdruckskraft besitzen und, wenn sie bedrückend auf mich wirken, ist das ja dann auch mein Problem :-)..! Heute bin ich wieder hier, weil ich Dein Bild sehr mag. Es spricht von der Schönheit des Lebens, von Erinnerungen, die man nie vergisst...!
Alles Gute für Dich, Roxana - und versprochen, ich werde wiederkommen!
Renée
Bon retour Roxana !
ReplyDeleteCe petit arbre fleuri donne l'impression d'être emprisonné derrière de gros barreaux.
Le printemps qui tente de faire un pied de nez à l'hiver ?
Le dernier arbre en fleurs du monde après un cataclysme météorologique ?
Tout est possible au travers de tes photos ;-)
Bises
Adelino, bem viva, claro! :-)
ReplyDeletethank you for being here, even after my absence...
Prospero:
ReplyDeletele bonheur de retourner, quand tu es là.
Owen, yes yes yes.
ReplyDeleteof course! :-)
(even if the Bridge is not so bright, it is nevertheless still floating, so this in itself should be a sign of hope)
you are always so very sweet to me, thank you for your presence and your warm gifts...
Line, quel plaisir de te revoir! merci de tout coeur...
ReplyDeleteDianne, i am so glad you like it... and i understand so well the feeling you talk about, the suddenness of a moment when the world around changes as if by magic - and then the terrible feeling of loss, of "missing" the moment - all photographers are haunted by this...
ReplyDeleteDésolé d'avoir supprimé mon commentaire Roxana... J'y parle trop de moi !...:)))
ReplyDeleteImprobable...! Comme tu le dis Roxana...!
Quand je regarde ta photo avec cette rangée de troncs qui forme comme une barrière à cet arbre en fleur, j'y trouve quelque chose de très vivant et très poétique !
"L'image" de cet arbre face à ces troncs me fait penser à une célèbre photo d'une manifestation contre la guerre au Vietnam !...:)
Il s'agit d'une photographie de Marc Riboud où on voit une jeune femme avec des fleurs face à une rangée de militaires !
C'est comme ça que j'interprète cette photographie ! La fragilité de cet arbre en fleur face à tous ces arbres plutôt austères !
Le site du photographe en question...
http://www.marcriboud.com/marcriboud/accueil.html
Mais aussi le printemps de Pragues...
Je ne sais pas pourquoi cette photo me fait penser à ceci et celà !... ? ! ?...(8[
Dans tous les cas, je suis ravi que tu réapparaisses dans cet univers de blogs ! Tu manquais Roxana...!
A bientôt...:)
Bises,
Jeff
Oui, Jeff, j’ai admiré hier tes amandiers en fleur, ils sont vraiment superbes... moi, je n’ai pas tant de chance puisqu’il n’y a pas d’amandiers en Roumanie, il ne fait pas assez chaud pour cela, ou peut-être il y a d’autres conditions climatiques dont je ne suis pas au courant. mais vu d’un autre côté, j’ai beaucoup de chance puisque voilà, je peux en admirer sur ton blog :-)
ReplyDeleteet pour cela je te remercie de tout coeur... aussi pour être ici pendant mon absence et pour dire que je/le Pont t’ont manqué...
Je n’avais pas pensé au changement climatique par rapport à cette image, tu ouvres ici une perspective intéressante. surtout comme les prévisions pour cette région où je vis sont très sombres, il paraît que dans 50 ans tout sera transformé en désert et alors les arbres fleuris comme celui-ci ne seront plus qu’un souvenir. et tu as aussi raison, j’ai choisi le blanc-noir pour accentuer le côté dramatique, j’ai aussi une version couleur qui est plus « tendre ».
Je t’embrasse et à très bientôt,
bisous :-)
mais, Jeff, pourqoi supprimer ton commentaire, j’étais juste en train de te répondre quand tu faisais cette bêtise :-P
ReplyDeletej’aime bien tes deux commentaires, surtout les perspectives qu’ils ouvrent, maintenant la guerre et la paix après le changement climatique.
c’est étrange, mais moi-aussi je vois la similitude dont tu parles, avec la photo de Marc Riboud (extraordinaire, cette image, merci beaucoup !). sur le mode métaphorique elles se rencontrent quelque part...
ach Renée, das ist wirklich sehr lieb von Dir, vielen vielen Dank fuer Deine warmen und aufrichtigen Worten - und auch dafuer, dass Du zurueck gekommen bist...
ReplyDeletewas Du mir gerade gesagt hast, macht mich sehr gluecklich: das ist ja mein groesster Wunsch, dass meine Bilder tiefe Emotionen hervorrufen. ich moechte natuerlich nicht, dass meine lieben Leser bei jedem Besuch hier auch traurig werden (hoffentlich ist das nicht Dein Fall!) - aber ich kann mir nichts Schoeneres vorstellen als von einem Bild ergriffen, ueberwaeltigt zu werden - auch wenn dieser Zustand manchmal zu intensiv ist... ich habe gerade eine grosse Munch-Ausstellung gesehen und am Ende war ich ganz erschoepft, konnte kaum mehr atmen...
ich bin sehr froh, Du bist wieder hier! :-)
hast Du keinen Blog?
viele Gruesse und bis bald...
Merci beaucoup pour tes chaleureux mots, petite fée K’line... et toi ? quand est-ce que tu seras de retour, avec le nouveau blog ? Et tes yeux ? j’espère de tout coeur que tu vas mieux...
ReplyDeletec’est marrant, tu penses aussi à un cataclisme météorologique, comme Jeff 1er (dans le message qu’il vient de supprimer, je veux dire :-).
Le mystère dans cette image, ce n’est pas moi qui l’ai créé, mais la forêt elle-même, je me rappelle être éblouie par l’image d’une forêt de troncs vides, où par ci par là poussaient de petits arbres en fleurs, un tel contrast enivrant...
je t'embrasse, ma chère...
Is this hope? Or reportage? This reminds me of the forest in Ivan’s Childhood :-)
ReplyDelete… and this slender tree that offers its whiteness as a promise of the colors to come, like glimpses of a skittish nymph who steps shyly from the late-winter shadows, her eyes yet unsure, torn between flight and inviting us….
Gérard de Nerval:
Déjà les beaux jours, - la poussière,
Un ciel d’azur et de lumière,
Les murs enflammés, les longs soirs ; -
Et rien de vert : - à peine encore
Un reflet rougeâtre décore
Les grands arbres aux rameaux noirs !
Ce beau temps me pèse et m’ennuie.
- Ce n’est qu’après des jours de pluie
Que doit surgir, en un tableau,
Le printemps verdissant et rose,
Comme une nymphe fraîche éclose
Qui, souriante, sort de l’eau.
the idea of spring becomes less improbable here on this bridge
ReplyDeleteah, Gerard, indeed - what a perfect poem, James, thank you so much, yet again
ReplyDelete(reading what i have just written, i become unsure if i am talking to you about Nerval or to Nerval about you :-)
and i would have never thought of a "skittish nymph" in this context, but now it makes sense, and it's so lovely. when i was little i often wished my name had been Bendis, the Thracian goddess of the moon...
ffflaneur!!!
ReplyDeleteyes, here on the Bridge the seasons seem to have their own rhythm and music, i simply witness what they offer me :-)
oh, but where are you.
Complimenti vivissimi Brava.
ReplyDeleteMaurizio